déc. 01
Victoire dans le Var pour Manu Guigou et la Clio R3T Automeca

Tout juste rentré en métropole après avoir conquis ses troisièmes titres Pilotes, 2 roues motrices et Constructeurs avec Renault en Nouvelle-Calédonie, Manu Guigou s’est offert un autre succès notable sur les routes du Rallye du Var. Il s’impose en Groupe R et termine huitième du classement général avec la Clio R3T. Cette sixième victoire de classe en Championnat de France lui permet d’achever la saison au premier rang des pilotes des tractions au classement général final.
En Mégane R.S. N4, en Clio R3 et en Clio R3T, Manu Guigou a réussi à gagner sur tous les terrains en 2014. Après les titres en Nouvelle-Calédonie, agrémentés de deux victoires au scratch, quatre victoires en Groupe N en Championnat de France des Rallyes, Manu Guigou s’est illustré au volant de la nouvelle Renault Clio R3T, montée et exploitée par Automeca. Et après avoir marqué les esprits au Mont-Blanc, il comptait rééditer sa performance dans le Var.
A cette occasion, Manu Guigou retrouvait Eric Domenech en copilote. Il faisait surtout face à une forte concurrence, autour de Sébastien Loeb de retour en rallye.
« Comme au Mont-Blanc, il a fallu attaquer dès le départ », commentait Manu Guigou. « Je suis parti très fort dans Capelude, ma spéciale préférée. J’ai pris beaucoup de plaisir. Après la grosse vague d’intempéries qui s’est abattue sur la région avant le rallye, les routes étaient assez humides avec beaucoup de coulées d’eau. Dans ces conditions, la Clio R3T et les pneumatiques Pirelli étaient excellents. Avec les ingénieurs de Renault Sport et Jean-Michel Astier, Responsable technique d’Automeca, nous avons établi de nouveaux réglages. Le résultat était parfait. J’étais vraiment en pleine confiance. C’est capital lorsque l’on doit composer avec de nombreux changements d’adhérence. Le pilotage devient plus instinctif. Il faut être hyper réactif sur un revêtement un peu gras avec quelques risques d’aquaplaning. Les corrections derrière le volant se font dans l’instant et au millimètre. J’ai parfois l’impression de rouler sur du velours vu le manque d’adhérence. Ces conditions et les bons réglages permettent de prendre un maximum de plaisir. Je crois que les spectateurs l’ont bien vu ! »
Après une bonne mise en action, Manu Guigou pointait en tête de la catégorie R3 à mi-rallye, malgré un mauvais choix de pneus au départ de la deuxième étape : « Il a fallu gérer l’écart pour ne pas perdre de temps. Samedi après-midi, nous avons pu attaquer pleinement pour aller chercher un septième temps derrière toutes les WRC, puis un cinquième et un sixième temps le dimanche matin. »
Toujours compliquée, la dernière journée du Rallye du Var allait permettre au pilote Automeca de signer une nouvelle performance. En plus de confirmer sa victoire en 2 roues motrices traction, Manu Guigou s’imposait en Groupe R devant les R5 et terminait à la huitième place du classement général : « Je me suis simplement amusé. Nous étions dans les ultimes kilomètres de la saison. Je voulais me fait plaisir. Comme souvent, quand on s’amuse au volant, les temps suivent ! »
Chaleureusement félicité sur le podium d’arrivée, Manu Guigou terminait à la cinquième place du Championnat de France. Premier des pilotes des tractions, il était encadré par des WRC et des Porsche… « J’ai le sentiment d’avoir vécu une année formidable. L’équipe Automeca a fait un travail irréprochable. Nous avons gagné trois rallyes au scratch, cinq victoires Groupe N avec la Mégane et deux autres avec la nouvelle Clio R3T. Le lancement de cette voiture était important face à une concurrence affutée. Automeca et Renault Sport ont réalisé un très bon travail pour conquérir ces succès. Pirelli est à associer à ces victoires. Les pneus ont été performants sous de fortes chaleurs et quand les conditions étaient plus compliquées. La gamme est faite pour gagner. »
Automeca engageait une seconde Clio R3T au Rallye du Var. Bruno Riberi et Florian Haut-Labourdette terminaient au onzième rang de leur catégorie. « C’était un peu compliqué de découvrir la voiture au départ de ce rallye », déclarait Bruno. « Le turbo rend le moteur très coupleux. Nous avons également pu essayer les pneumatiques. Je suis plutôt satisfait, car nous avons réussi à augmenter le rythme petit à petit. Désormais, nous attendons de connaître le calendrier du prochain trophée pour préparer la saison à venir… »
« Ils ont su acquérir de l’expérience sur un rallye compliqué », ajoutait Manu. « Bruno a découvert la voiture au départ. Ses temps se sont améliorés au fil des spéciales. Je lui ai apporté un maximum de conseils et il a été très à l’écoute. Il possède un très bon potentiel à exploiter. »
A cette occasion, Manu Guigou retrouvait Eric Domenech en copilote. Il faisait surtout face à une forte concurrence, autour de Sébastien Loeb de retour en rallye.
« Comme au Mont-Blanc, il a fallu attaquer dès le départ », commentait Manu Guigou. « Je suis parti très fort dans Capelude, ma spéciale préférée. J’ai pris beaucoup de plaisir. Après la grosse vague d’intempéries qui s’est abattue sur la région avant le rallye, les routes étaient assez humides avec beaucoup de coulées d’eau. Dans ces conditions, la Clio R3T et les pneumatiques Pirelli étaient excellents. Avec les ingénieurs de Renault Sport et Jean-Michel Astier, Responsable technique d’Automeca, nous avons établi de nouveaux réglages. Le résultat était parfait. J’étais vraiment en pleine confiance. C’est capital lorsque l’on doit composer avec de nombreux changements d’adhérence. Le pilotage devient plus instinctif. Il faut être hyper réactif sur un revêtement un peu gras avec quelques risques d’aquaplaning. Les corrections derrière le volant se font dans l’instant et au millimètre. J’ai parfois l’impression de rouler sur du velours vu le manque d’adhérence. Ces conditions et les bons réglages permettent de prendre un maximum de plaisir. Je crois que les spectateurs l’ont bien vu ! »
Après une bonne mise en action, Manu Guigou pointait en tête de la catégorie R3 à mi-rallye, malgré un mauvais choix de pneus au départ de la deuxième étape : « Il a fallu gérer l’écart pour ne pas perdre de temps. Samedi après-midi, nous avons pu attaquer pleinement pour aller chercher un septième temps derrière toutes les WRC, puis un cinquième et un sixième temps le dimanche matin. »
Toujours compliquée, la dernière journée du Rallye du Var allait permettre au pilote Automeca de signer une nouvelle performance. En plus de confirmer sa victoire en 2 roues motrices traction, Manu Guigou s’imposait en Groupe R devant les R5 et terminait à la huitième place du classement général : « Je me suis simplement amusé. Nous étions dans les ultimes kilomètres de la saison. Je voulais me fait plaisir. Comme souvent, quand on s’amuse au volant, les temps suivent ! »
Chaleureusement félicité sur le podium d’arrivée, Manu Guigou terminait à la cinquième place du Championnat de France. Premier des pilotes des tractions, il était encadré par des WRC et des Porsche… « J’ai le sentiment d’avoir vécu une année formidable. L’équipe Automeca a fait un travail irréprochable. Nous avons gagné trois rallyes au scratch, cinq victoires Groupe N avec la Mégane et deux autres avec la nouvelle Clio R3T. Le lancement de cette voiture était important face à une concurrence affutée. Automeca et Renault Sport ont réalisé un très bon travail pour conquérir ces succès. Pirelli est à associer à ces victoires. Les pneus ont été performants sous de fortes chaleurs et quand les conditions étaient plus compliquées. La gamme est faite pour gagner. »
Automeca engageait une seconde Clio R3T au Rallye du Var. Bruno Riberi et Florian Haut-Labourdette terminaient au onzième rang de leur catégorie. « C’était un peu compliqué de découvrir la voiture au départ de ce rallye », déclarait Bruno. « Le turbo rend le moteur très coupleux. Nous avons également pu essayer les pneumatiques. Je suis plutôt satisfait, car nous avons réussi à augmenter le rythme petit à petit. Désormais, nous attendons de connaître le calendrier du prochain trophée pour préparer la saison à venir… »
« Ils ont su acquérir de l’expérience sur un rallye compliqué », ajoutait Manu. « Bruno a découvert la voiture au départ. Ses temps se sont améliorés au fil des spéciales. Je lui ai apporté un maximum de conseils et il a été très à l’écoute. Il possède un très bon potentiel à exploiter. »